Suite à sa propre réponse, les agents de Saint Pierre répondent à leur tour à M. le chef de service. Ou comme toujours, comment viser à coté de la plaque. 27 emplois budgétaires. 12 agents dans l’unique BSE (9 à Saint-Pierre et 3 à Miquelon). 100 kms de côtes. Des services assurés à deux, au mieux. Avec au nord le Canada. Au Sud, les États-Unis. Rassurez vous cher-es agent-es, bientôt le Grand Marché Transatlantique (GMT/TAFTA) viendra vous sauver…
De notre petit caillou, à 4 800 kilomètres à vol d’oiseau de la Mère Patrie, nous ne pouvons-nous empêcher d’avoir une petite pensée pour celle qui s’implique totalement pour nous et qui a mesuré, ô combien, la
délicatesse et la sensibilité de la situation… Pendant ce temps là, de l’autre coté de l’Atlantique, notre Chef sur son île (et sur qui elle compte de temps en temps pour l’informer et la désinformer) mène seul à distance… son service « Ultra Marin » avec son blanc-seing !
VÉRITÉ EN DEÇÀ DU GOLFE DU SAINT-LAURENT, ERREUR AU-DELÀ ?
Pour Montreuil, il organise…. mais nous on sait pertinemment qu’il désorganise et qu’il fait tout pour nous sortir rapidement du
« moyen âge » !
Il anime ses structures, et comment !, avec une technique bien à lui tout de même, pas en demandant de prêter main forte aux collègues OP/CO mais bien au contraire en divisant les services… Notre café ne doit pas être très bon ! … Bonjour
l’ambiance ! Attention tout de même aux coups de règles sur les doigts, car il faudra rendre des comptes en hauts-lieux, et si l’action n’est pas conforme au Plan et qu’elle fait trop de vagues… faudra bien savoir naviguer dans nos eaux froides !
Avant tout, désolé chef pour ne pas avoir paraphé la lettre de soutien de vos protégé(e)s mais bon, vous comprenez on nous l’a cachée cette fois-ci et puis… on venait juste de signer une pétition alors…on allait pas se tirer une balle dans le pied !
À ce titre, on va devoir une nouvelle fois replacer certains arguments de votre belle note explicative dans leur contexte ! Selon cette dernière: « il vous appartient d’adapter le régime de travail des agents à la réalité du trafic ». Malgré tout, vous avez finalement compris qu’ici c’est particulier ! Les spécificités locales vous n’aimez pas beaucoup, n’est-ce pas ? Mais vous composez avec… quand ça vous arrange !
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FAIRE LA PLUIE ET LE MAUVAIS TEMPS
Ainsi votre solution consiste « à mettre des agents en RH les jours ou il n’y a aucun vol, ni passage maritime » ? (Dommage que ces repos tombent les mardis et jeudis, car on aurait pu tous s’abonner cet hiver pour faire de la luge avec nos enfants !!!)
« Y-a-qu’à travailler différemment » dites-vous !
Et bien soit, mais lorsque le CDU ou son remplaçant vous révèle son incapacité à faire une cote autrement (avec seulement 4 ou 5 agents disponibles à flux tendus), la faites-vous pour autant à sa place ?
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PILE ON NE GAGNE PAS. FACE, ON PERD.
L’épisode des nouvelles modalités de contrôle à l’aéroport est d’un ridicule et mérite tout de même quelques éclaircissements ! Une fois de plus vous avez excellé dans votre passe temps favoris, la « virevolte » ! Avec vous c’est difficile de se fixer au quotidien, une journée c’est blanc, le lendemain noir, le surlendemain gris-clair et nous en avons pour preuve les deux courriers (04/02/2013 et 04/02/2014) adressés sur le sujet au Président du Conseil Territorial.
En l’occurrence ici, vous faites encore plus fort sur une période d’un an (c’est vrai que sur une telle période on a le droit de changer d’avis mais bon…). Vous avez tiré la barre à 180° tout de même, no comment !
L’AVEUGLEMENT DERRIÈRE L’IMPERCEPTIBILITÉ ?
À tout vouloir réorganiser et restructurer pour assurer une meilleure qualité de service pour les usagers (rapidité, efficacité, simplicité), vous omettez bien des détails perceptibles que par ceux qui sont sur le terrain !
À l’instar du contrat M.D.T. conclu récemment avec le transporteur aérien, qu’est-il advenu du local de dépôt douanier à l’aéroport Pointe-Blanche ?
Par un grand besoin, dans l’immédiat nous direz-vous, car par note de service, les agents SURV sont invités à descendre les marchandises dans le véhicule de service au bâtiment de douane principal ! « on aura pas besoin de déranger les agents OP/CO pour ce genre de broutilles !!! » .
Et la responsabilité civile des agents dans tout ça vous y avez pensé ? On connaît par ailleurs la bonne foi de l’administration, quand pour faute, il s’agit de désigner un coupable !
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AHHHH !!! LES FAMEUX 155 QUI ONT EMBRASÉ LA DOUANE(S) !
Nous n’avons pas pour habitude de nous défiler devant nos responsabilités et encore moins pour l’établissement des quittances 155. Cependant, vous n’êtes pas sans connaître les conditions dans lesquelles celles-ci sont dressées. Il n’y a pas de sous-caisse et pour cause, les effectifs sont décousus. Comment faire alors pour contrôler en toute la légalité ?
Expliquez nous comment répartir les tâches ! On vous rappelle que ce sont des documents valeurs et qu’ils doivent être établis en respectant des règles strictes.
Difficile aussi de se trimbaler avec une caisse quand il faut être présent sur tous les secteurs (trafics avions, ferry, plaisanciers…) et que la passation ne peut pas se faire systématiquement entre l’équipe sortante et rentrante. Cela va être chaud avec la petite boîte, à courir les pontons pendant l’été…! Pas intérêt à laisser tomber les chèques entre les bateaux !!!
Enfin (…), rappelez à Madame que, MATHIEU 2 n’est pas le messie que l’on espérait et il ne nous sauvera certainement pas de la noyade !
Mais bon, à sa mise en application, vous coulerez déjà au loin une belle retraite juteuse, bien retiré des préoccupations de cette Brigade des Douanes que vous détestez
L’intégralité de la lettre ouverte parodique :